Auteur / Autrice : | Imen Mansouri |
Direction : | Lionel Torres |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | SYAM - Systèmes Automatiques et Microélectroniques |
Date : | Soutenance le 30/11/2011 |
Etablissement(s) : | Montpellier 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | Information, Structures, Systèmes (Montpellier ; École Doctorale ; 2009-2014) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : LIRMM - Laboratoire d'Informatique, Robotique et Micro-électronique de Montpellier |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Lionel Torres, Fabien Clermidy, Pascal Benoit, Olivier Sentieys |
Rapporteurs / Rapporteuses : Frédéric Pétrot, Michele Auguin |
Mots clés
Résumé
Les architectures régulières intégrant plusieurs cœurs de traitement sont davantage utilisées dans les systèmes embarqués. Dans cette thèse, on s'intéresse aux mécanismes d'optimisation d'énergie dans des architectures avec une dimension étendue; pour faire face aux problèmes de variabilité technologique et aux changements du contexte applicatif, le processus d'optimisation se déroule en temps réel. Des capteurs in-situ détectent le degré de dégradation du circuit. Quant a la variabilité applicative, des moniteurs d'activité sont insérés sur un niveau architectural pour estimer la charge de travail engendrée par l'application en cours et la consommation qui en découle. Nous avons développé une méthode systématique pour l'intégration de ces capteurs avec un moindre coût en surface. Leurs sorties alimentent un processus d'optimisation basé sur la théorie de consensus et dupliqué dans chaque cœur. Ce contrôle vise à fixer la meilleure configuration locale à chaque cœur permettant d'optimiser la consommation globale du système tout en respectant les contraintes temps réel de l'application en cours. Ce schéma opère d'une manière complètement distribuée afin de garantir la scalabilité de notre solution, et donc sa faisabilité, compte tenu de la complexité des circuits actuels et futurs.