Les relations professionnelles tripartites : le cas du Grand-Duché de Luxembourg
Auteur / Autrice : | Franz Clément |
Direction : | Antoine Bevort |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sociologie du Travail |
Date : | Soutenance le 08/03/2011 |
Etablissement(s) : | Paris, CNAM |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole doctorale Arts et Métiers (Paris) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire interdisciplinaire pour la sociologie économique (Paris) |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Michel Lallement, Serge Allegrezza |
Rapporteur / Rapporteuse : Annette Jobert, Évelyne Léonard |
Mots clés
Résumé
La thèse porte sur le système tripartite de relations professionnelles du Grand Duché de Luxembourg, regroupant les autorités publiques ainsi que les organisations syndicales et patronales. Elle se pose deux questions. Dans quelle mesure on peut parler d’un modèle de relations professionnelles propre au Luxembourg ? Ce modèle relève-t-il ou non du type consociatif tel que théorisé par Arendt LIJPHART ? Il s’agit d’une étude de cas portant sur un seul pays.La thèse est divisée en six chapitres. Le premier présente le Luxembourg et ses relations professionnelles. Le second porte sur l’évolution de deux institutions importantes des relations professionnelles. Le troisième présente les théories mobilisées dans le cadre de la thèse. Les chapitres 4, 5 et 6 consistent en une analyse des principaux éléments de la théorie de LIJPHART appliquée aux relations professionnelles tripartites luxembourgeoises. Les conclusions répondent aux questions posées ci-dessus.