Analyse harmonique sur certains groupes de Lie à croissance polynomiale
Auteur / Autrice : | Raza Lahiani |
Direction : | Jean Ludwig |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Mathématiques |
Date : | Soutenance le 09/03/2010 |
Etablissement(s) : | Metz en cotutelle avec Université du Luxembourg |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale IAEM Lorraine - Informatique, Automatique, Électronique - Électrotechnique, Mathématiques de Lorraine (1992-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : LMAM - Laboratoire de Mathémathiques et Applications de Metz - UMR 7122 (....-2012) |
Jury : | Président / Présidente : Martin Olbrich |
Examinateurs / Examinatrices : Didier Arnal, Hidenori Fujiwara, Carine Molitor-Braun, Angela Pasquale |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
La première partie de la thèse porte sur l’étude de familles lisses d’opérateurs d’entrelacement entre deux réalisations différentes de représentations unitaires irréductibles et leur effet sur la théorie du rétracte. La deuxième partie de la thèse consiste à fournir certains résultats sur la théorie du rétracte sous à l’action de K, un sous-groupe de Lie compact du groupe des automorphismes de N où N est un groupe de Lie nilpotent connexe, simplement connexe, (construction générale d’un rétracte pour la réalisation des représentations obtenue par induction à partir de polarisations de Vergne dans le cas générique, application à la construction d’un rétracte pour d’autres choix de polarisations). On y utilise la théorie développée dans la première partie. Dans une troisième partie on caractérise les idéaux K-premiers de l’algèbre de Schwartz. Le passage aux idéaux K- premiers de l’algèbre de groupe L1(N) est alors réalisé via la théorie du rétracte développée dans la deuxième partie, au moins dans le cas générique et dans le cas des formes linéaires définissant les caractères. Dans une quatrième partie de la thèse, on étudie l’action de SO(4) sur F(4), groupe de Lie libre nilpotent de pas 2 à 4 générateurs, en s’intéressant particulièrement aux strates non génériques (théorème de Fourier inverse, idéaux K-premiers)