Environnement et mobilité 2050 : des scénarios sous contrainte du facteur 4 (-75% de CO2 en 2050)
Auteur / Autrice : | Hector G. Lopez-Ruiz |
Direction : | Yves Crozet |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences économiques. Economie des transports |
Date : | Soutenance le 21/10/2009 |
Etablissement(s) : | Lyon 2 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences économiques et gestion (Lyon) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'économie des transports (Lyon ; ....-2015) |
Jury : | Président / Présidente : Patrick Criqui |
Examinateurs / Examinatrices : Alain Morcheoine, Bertrand Chateau, Jesus Muñuzuri | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Andrés Monzon, Jose Manuel Leite Viegas |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Afin de limiter les impacts du changement climatique sur la planète, les experts du Groupe Intergouvernemental d’experts sur l’Evolution du Climat (GIEC) préconisent une division par deux des émissions mondiales de gaz à effet de serre à l’horizon 2050. Cet objectif impose une division par quatre (i.e. facteur 4) des émissions de gaz à effet de serre des pays industrialisés comme la France. Le secteur des transports peut-il se plier à cette exigence ?A l’aide du modèle TILT (Transport Issues in the Long Term), centré sur les relations macroéconomiques entre croissance économique, technologies, mobilité et émissions de CO2, cette thèse recherche les conditions à réunir pour que soit atteint, en France, le « facteur 4 ». Si les progrès techniques annoncés par les ingénieurs sont au rendez-vous, nous pouvons atteindre un facteur 2. L’autre moitié du chemin doit donc être réalisée par une modification des comportements des individus et des entreprises. Trois familles de scénarios sont proposées pour en illustrer le contenu de ces évolutions.