Etude des résines à amplification chimique 193 nm de tonalité positive ou négative pour une application microélectronique sub65 nm
Auteur / Autrice : | Michael Julian May |
Direction : | Georges Hadziioannou |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Chimie physique |
Date : | Soutenance en 2008 |
Etablissement(s) : | Université Louis Pasteur (Strasbourg) (1971-2008) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Physique et chimie-physique (Strasbourg ; 1994-....) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Ce travail vise l’étude des résines utilisées en microélectonique. Le procédé de fabrication des circuits intégrés nécessite en effet l’utilisation d’un polymère photosensible qui permet de définir des motifs sur le substrat silicium lors d’une étape d’insolation. Ces motifs servent ensuite de masque lors d’une étape de gravure plasma qui permet d’obtenir le tracé du circuit intégré. L’objectif principal a donc été d’étudier la résistance à la gravure des résines pour une chimie de gravure oxyde donnée. L’analyse de l’ensemble des résines met en évidence des modifications chimiques liées à l’utilisation de monomères acryliques, dont nous avons cherché à déterminer les causes et comment les réduire. Dans un second temps, nous avons cherché à déterminer la résolution limite qu’il est possible d’atteindre avec une résine négative en utilisant un interféromètre à immersion. Nous avons ainsi démontré que les résines négatives nesont pas compétitives vis-à-vis des résines positives.