Thèse soutenue

Origine de la perte de capacité de nanograins d'oxyde de vanadium pour batterie au lithium : influence du greffage moléculaire

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Auteur / Autrice : François Tanguy
Direction : Dominique GuyomardJoël Gaubicher
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Sciences des matériaux, électrochimie et physico-chimie
Date : Soutenance en 2008
Etablissement(s) : Nantes
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale chimie biologie (Nantes)
Partenaire(s) de recherche : autre partenaire : Université de Nantes. Faculté des sciences et des techniques

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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Les batteries au lithium présentent une perte de capacité en cyclage lorsque le matériau actif d’électrode positive est Li1,1V3O8 nanométrique. Les caractérisations électrochimiques et physiques ont démontré que la dégradation des propriétés en cyclage s’explique par la formation d’une couche passivante en surface du matériau d’électrode positive. Cette couche se forme d’abord du coté électrolyte puis se propage au travers de l’électrode jusqu’au collecteur de courant. Elle résulte de la dégradation de l’électrolyte qui pourrait résulter de l’attaque nucléophiles des atomes d’oxygène de surface de Li1,1V3O8. Pour étudier l’influence de l’état de surface sur la perte de capacité la surface spécifique du matériau a été multipliée par six par synthèse par méthode sol-gel en milieu isopropanol. Par la suite, la modification de l’état de surface par réduction électrochimique des sels de diazonium a été étudiée. Les modifications ont permis d’améliorer la rétention de capacité en limitant la dégradation de l’électrolyte