L'inversion de l’échelle des salaires dans une économie libérale, sociale et solidaire
Auteur / Autrice : | Paul Vannucci |
Direction : | Michel Castellani |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences économiques |
Date : | Soutenance en 2007 |
Etablissement(s) : | Corte |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
La théorie de l’inversion de l’échelle des salaires engendre un véritable ''bouleversement'' des mentalités puisqu'elle propose de payer décemment, c'est à dire que selon l'emploi ou la qualification tous les jeunes entrés dans le marché de l'emploi seront rétribués au plus haut niveau dans un mouvement dégressif jusqu'à mi-parcours puis progressif jusqu'à la retraite et selon une échelle de 1 à 5 en leur suggérant ou plutôt en leur inculquant l'indissociabilité du social, du solidaire et du libéral en incluant le dynamisme de l'entreprise qui aura -elle même- intégré ce concept tant, vis-à vis de la concurrence que du salarié. Dans son application, la Théorie de l'I. E. S relève du '' principe des vases communicants à équilibre différé''. Pour '' financer '' l'application de cette théorie nous tenterons de réunir : les recettes classiques inhérentes au budget national selon la philosophie unissant sans complaisance, libéralisme, socialisme, solidarité. L'argent mal ou ''opportunément'' dépensé, celui que des tiers s'attribuent bien qu'appartenant à la collectivité. . . Etc. Nous irons même chercher l'argent aux endroits qui mettent en évidence l'hypocrisie ou '' les consciences sereines '' en d'autres termes, identifier l'argent produit par la drogue, le blanchiment. Il n'est dans aucun endroit de notre esprit, une quelconque idée disant qu'il faille démunir qui que ce soit cependant, nous nous opposons à l'assistanat systématique et prolongé, source indéniable de nombreux maux'' sociaux'' voire d'oisiveté qui constitue le vecteur quasi ''incestueux'' de la violence''