Auteur / Autrice : | Marie-Hélène Rouillat |
Direction : | Magali Phaner-Goutorbe |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences. Matière condensée |
Date : | Soutenance en 2004 |
Etablissement(s) : | Ecully, Ecole centrale de Lyon |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Laboratoire d'électronique, optoélectronique et microsystèmes (Ecully, Rhône) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Les puces à ADN sont des systèmes de reconnaissance génétique, élaborées à partir d'un support solide sur lequel sont greffées des monobrins-sondes de séquences connues. Elles permettent d'identifier dans une solution, les brins d'ADN-cibles possédant la séquence complémentaire. Dans le contexte d'une miniaturisation des puces, une analyse par microscopie à force atomique (AFM) de chaque étape de fabrication des puces a été entreprise, de l'immobilisation des sondes jusqu'à la lecture de l'hybridation. Il a été montré que la nature des sondes, séquences et marqueurs fluorescents, influençaient leur organisation en surface et que chaque sonde de 25 bases pouvait être identifiée individuellement. Après hybridation de faibles quantités de cibles, les images AFM ont révelé la présence de brins couchés et dispersés, sur lesquels la zone d'hybridation a été localisée.