Le Mythe dans "Feux" et "Nouvelles orientales" de Marguerite Yourcenar
Auteur / Autrice : | Armelle Lelong |
Direction : | Jean-Yves Debreuille |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Littérature française |
Date : | Soutenance en 1996 |
Etablissement(s) : | Lyon 2 |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Comment atteindre la permanence sous la fluctuation ? Telle est la problématique de toute l'œuvre yourcenarienne et qui est déjà contenue dans ses œuvres de jeunesse : Feux et Nouvelles orientales. L'écriture de Marguerite Yourcenar est une écriture mythique. La question alors est de savoir comment le mythe permet à l'écrivain de s'approcher de l'absolu, de découvrir sous l'être humain ce qu'il y a de durable, d'éternel. Ainsi, il s'agit de savoir par quels procèdés d'écriture, par quel type de structure, par quels signifiés originaux, Feux peut se faire "voie d'accès" et puis pourquoi, à la même époque, un ou deux ans plus tard, toujours animée par la même quête, Marguerite Yourcenar se tourne vers un genre très proche du mythe, dérivé de lui : le conte avec Nouvelles orientales.