Thèse soutenue

Etude de la diffraction électromagnétique par des géométries bidimensionnelles infinies

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Auteur / Autrice : Philippe Mareschal
Direction : Jean-Jacques Greffet
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Energétique
Date : Soutenance en 1996
Etablissement(s) : Châtenay-Malabry, Ecole centrale de Paris
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Laboratoire d'énergétique moléculaire et macroscopique, combustion (Gif-sur-Yvette, Essonne)

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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La diffraction électromagnétique par des géométries bidimensionnelles est traitée. Le formalisme des équations intégrales, discrétisées à l'aide de la méthode des moments, est applique dans le cas de la diffraction conique. Le concept d'interface fictive est introduit pour faciliter la résolution de certains problèmes. Dans la seconde partie, la méthode est étendue aux milieux anisotropes dans le cas où il n'y a pas d'oblicité. Apres changement de repère, une équation intégrale anisotrope de forme très proche de l'équation isotrope est obtenue. Les géométries périodiques dans une direction sont ensuite étudiées. Des interfaces fictives limitent le domaine de calcul à une période et permettent d'utiliser un développement de Rayleigh du champ au-dessus des motifs périodiques. Cette méthode permet d'étudier, en particulier, des réseaux très profonds et ainsi, de mettre en évidence un effet de Blaze généralisé. Dans la dernière partie, une hybridation de la méthode intégrale avec la solution du problème monodimensionnel tangent est présentée. Elle permet d'étudier la diffraction par des géométries recouvertes d'un ou plusieurs diélectriques se prolongeant jusqu'à l'infini (un dièdre par exemple). La résolution numérique se limite à une zone située autour des discontinuités. Le résultat obtenu est indépendant de la limite zone calculée/zone approximée. Les ondes de surface, qui se propagent dans les revêtements, sont prises en compte pour le calcul du champ lointain