Thèse soutenue

Propriétés structurales et magnétiques de siliciures et germaniures ternaires RTX et RT#2X#2 : R=CA, BA, SC, Y, LA et lanthanoides; T=MN et métaux des groupes 8 à 10
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Auteur / Autrice : Richard Welter
Direction : Bernard Malaman
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Chimie minérale
Date : Soutenance en 1994
Etablissement(s) : Nancy 1
Partenaire(s) de recherche : autre partenaire : Université Henri Poincaré Nancy 1. Faculté des sciences et techniques

Mots clés

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Mots clés contrôlés

Résumé

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Ce travail concerne l'étude des propriétés magnétiques de siliciures et germaniures ternaires (rt#2x#2 et rtx isotypes de thcr#2si#2 et cefesi respectivement) qui associent deux métaux de tailles et électronégativités différentes (r=ca, ba, y, sc, la et la série des lanthanoides; t=manganèse et métaux des groupes 8 a 10). La synthèse de nombreuses phases nouvelles isotypes de cefesi a permis de préciser la cristallochimie des composes ternaires equiatomiques en montrant en particulier l'influence des tailles relatives de leurs constituants et l'affinité des éléments r et t. Les propriétés magnétiques des composés suivants ont été étudiées par mesures de susceptibilité et diffraction des neutrons: rfesi (r=land, sm, gd, tb, dy), rcosi (r=land, sm, gd, tb), rcoge (r=land), rrusi (r=land, sm, gd), rruge (r=land, sm), rmnsi (r=ca, land, sm, gd, tb), la#2y#8mnsi, rmnge (r=ca, land, sm), rmn#2ge#2 (r=ca, ba, la), la mn#2si#2. Une étude par spectrométrie Mössbauer du #5#7fe a été réalisée sur les composes rfesi. Le bloc baal#4, commun à ces différentes structures, se comporte comme une entité qui est le siège de phénomènes magnétiques identiques, fonction du métal de transition. Dans le cas des phases au manganèse, ce travail a mis en évidence la dépendance de l'ordre magnétique dans les plans de manganèse avec la distance mnmn. Les premiers isotypes de thcr#2si#2 à plans de manganèse antiferromagnétiques ont pu ainsi être mis en évidence. L'originalité des phases au manganèse apparait également au niveau des températures d'ordre remarquablement élevées (de 130 a 200 k) pour les sous-réseaux de lanthanoides.