Étude théorique de la physisorpiton et de ses effets sur la réactivité des molécules
Auteur / Autrice : | Philip Eric Hoggan |
Direction : | Daniel Rinaldi |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Chimie |
Date : | Soutenance en 1991 |
Etablissement(s) : | Nancy 1 |
Partenaire(s) de recherche : | autre partenaire : Université Henri Poincaré Nancy 1. Faculté des sciences et techniques |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Un modèle est développé pour représenter l'interaction d'une molécule avec la surface d'un solide au-delà de la zone de recouvrement. L'hamiltonien d'interaction est développé en série de multipoles. Pour effectuer les calculs de fonction d'onde, des perfectionnements sont apportés à la méthodologie semi empirique MNDO, mais le modèle est applicable au niveau ab inition également. Le solide est supposé demi-infini et limité par une surface plane. Deux types de solide sont distingués: le diélectrique, représenté par sa permittivité électrique, et le métal représenté par sa fonction de réponse diélectrique, ainsi que par une analyse de son potentiel d'interaction avec la molécule. Ce potentiel est soit traité comme une perturbation directe de la matrice de green correspondant au potentiel total, soit par une équation intégrale dont le noyau est un operateur de green. Le solide diélectrique s'apparente à un effet de solvant ce qui a motivé une adaptation du logiciel geomos (geometry optimisation of molecular orbitals-solid/solvent). L'effet d'un métal a également été pris en compte dans ce logiciel. Cette thèse présente donc une des options de geomos publiée au QCPE. La méthode est testée, puis appliquée 0 des exemples de chemins réactionnels et d'intermédiaires de synthèse compar2s en phase gazeuse et en phase physisorbée