Thèse de doctorat en Composants, signaux et systèmes. Composants électroniques et optiques
Sous la direction de Paul Bousquet.
Soutenue en 1986
à Aix-Marseille 3 .
Plusieurs théories ont été proposées pour décrire la répartition spatiale de lumière diffusée par une surface optique peu rugueuse. Nous nous intéressons tout d'abord à la validité des modèles qui sont utilises pour tenir compte de ta rugosité d'une interface, et nous montrons en particulier l'équivalence des théories de Eison et de Bousquet. La méthode de calcul développée est ensuite utilisée pour caractériser les polis optiques de bonne qualité. Dans 1e cas d'un échantillon transparent, on montre expérimentalement que le dépôt d'une mince couche métallique sur ta surface à mesurer permet d'accéder à son micropoli. Avec des surfaces traitées par une seule couche, la théorie permet une interprétation détaillée des résultats expérimentaux. On établit, les conditions pour lesquelles la couche se comporte comme un anti-diffusant, et on en déduit des informations concernant 1a microstructure du matériau qui la compose. Notre théorie est également appliquée au cas des revêtements multidiélectriques, et nous nous intéressons plus particulièrement au problème de la diffusion par les miroirs à facteur de réflexion élevé, en cherchant une structure d'empilement susceptible de conduire aux pertes minimales.
Development and comparison of two vector theories of light scattering by slightly rough surfaces : application to the study of surfaces and dielectric layer steckings
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