Etude locale des mécanismes de réentrainement des microparticules en conduite ventilée
Auteur / Autrice : | Djihad Debba |
Direction : | Camille Solliec, Laurence Le Coq |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Mécanique des milieux fluides |
Date : | Soutenance le 21/12/2017 |
Etablissement(s) : | Ecole nationale supérieure Mines-Télécom Atlantique Bretagne Pays de la Loire |
Ecole(s) doctorale(s) : | Sciences de l'ingénierie et des systèmes (Centrale Nantes) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : DSEE - Génie des Procédés Environnement – Agroalimentaire (GEPEA) (Saint-Nazaire) - Equipe VERTE |
Jury : | Président / Présidente : Evelyne Gehin |
Examinateurs / Examinatrices : Camille Solliec, Laurence Le Coq, Evelyne Gehin, Béatrice Biscans, Dominique Heitz, François-Xavier Ouf, Félicie Theron | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Béatrice Biscans, Dominique Heitz |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L’objectif de cette étude est de bien décrire les mécanismes impliqués dans la remise en suspension des microparticules en conduite ventilée. Une méthodologie expérimentale est utilisée, et cela en tenant compte de la période d’accélération de l’écoulement qui précède l’atteinte du régime permanent. Une méthode optique a été choisi pour étudier le mouvement initial des particules, et leur cinétique de remise en suspension. Parallèlement, nous avons recueilli des données locales de l’écoulement en période d’accélération et au régime permanent.Le démarrage de la remise en suspension a été analysé relativement à l’évolution temporelle de trois paramètres pouvant influencer le démarrage de la remise en suspension, le premier est la vitesse instantanée en proche paroi, le second est l’intensité turbulente, et enfin le troisième est l’énergie cinétique turbulente. Le paramètre prépondérant sur le démarrage de la remise en suspension semble être l’énergie cinétique turbulente.