La production cinématographique camerounaise : l’implication de l’état et du secteur prive
Auteur / Autrice : | Annette Nguea |
Direction : | Laurent Creton |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Études cinématographiques et audiovisuelles |
Date : | Soutenance en 2008 |
Etablissement(s) : | Paris 3 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Arts et médias (Paris) |
Jury : | Président / Présidente : Michel Marie |
Examinateurs / Examinatrices : Laurent Creton, Michel Marie, Fabrice Montebello, Jean Antoine Gili, Philippe Dubois |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
L’analyse de l’histoire du cinéma camerounais révèle que ce cinéma dont le premier film, Aventure en France a été réalisé en 1962, a connu une évolution en dents de scie. Ainsi, tout au long de son histoire (1962-2006), un peu plus d’une cinquantaine de longs métrages ont été produits par les professionnels du cinéma. Cette période a été également marquée par des problèmes de distribution et d’exploitation des films. Par ailleurs, au fil des années et notamment à Yaoundé et à Douala, les salles de cinéma ont fermé. Au vue de ces problèmes, une approche analytique et stratégique nous a permis d’envisager des perspectives pour que le 7ème Art camerounais puisse être accessible à son public et compétitif tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays. Ces perspectives peuvent être présentées selon quatre aspects que sont l’amélioration de la qualité technique des films camerounais, l’augmentation du nombre de salles de cinéma, l’exploitation des nouvelles technologies, l’implication de l’Etat et du secteur privé dans la production, la distribution et l’exploitation des films camerounais.