Etude de phénomènes de bords via l’utilisation d’impuretés
Auteur / Autrice : | Sarah Pinon |
Direction : | Cristina Bena |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Physique |
Date : | Soutenance le 20/09/2021 |
Etablissement(s) : | université Paris-Saclay |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Physique en Île-de-France (Paris ; 2014-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de physique théorique (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 1982-....) |
référent : Faculté des sciences d'Orsay | |
Jury : | Président / Présidente : Pascal Simon |
Examinateurs / Examinatrices : Annica Black-Schaffer, Rosa Lopez Gonzalo, Christophe Mora, Hélène Bouchiat, Adeline Crépieux, Laurent Simon | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Annica Black-Schaffer, Rosa Lopez Gonzalo |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Nous présentons ici une nouvelle méthode permettant d’étudier des phénomènes dus aux bords, nommée "méthode des impuretés". Cette technique consiste à simuler un bord ou une surface en plaçant des impuretés le long d’une ligne ou d’un plan, et en faisant en sorte que le potentiel qui leur est associé soit grand (par rapport aux énergies caractéristiques du système). A travers une suite d’exemples de systèmes, nous explorons alors les possibilités qu’offre cette nouvelle méthode, ses avantages et ses limites. Nous montrons en particulier qu’elle peut s’appliquer indépendamment de la dimension du système (1D, 2D, 3D), qu’elle fonctionne pour des systèmes topologiques comme non-topologiques, et qu’elle peut apporter des avantages par rapport à certaines techniques usuelles telles que le calcul tight-binding ou les approximations JDOS et SSP utilisées pour étudier les interférences de quasi-particules.