Communication environnementale et intelligence territoriale : un appui au Groupe Chimique Tunisien site de Gabès
Auteur / Autrice : | Fadhila Tlig |
Direction : | Vincent Meyer, Rym Hachana |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de l’information et de la communication |
Date : | Soutenance le 19/07/2018 |
Etablissement(s) : | Université Côte d'Azur (ComUE) en cotutelle avec Université de la Manouba (Tunisie) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sociétés, humanités, arts et lettres (Nice ; 2016-....) |
Partenaire(s) de recherche : | établissement de préparation : Université de Nice (1965-2019) |
Laboratoire : TransitionS (Nice ; 2016-) - Rigueur (Manouba ; 2016-) | |
Jury : | Président / Présidente : Hafida Boulekbache |
Examinateurs / Examinatrices : Hafida Boulekbache, Philippe Dumas, Abdelwahed Omri, Emna Boumediene | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Philippe Dumas, Abdelwahed Omri |
Mots clés
Résumé
Cette thèse analyse le lien entre la communication environnementale du Groupe Chimique Tunisien (GCT) site de Gabès et l’impulsion d’une dynamique d’intelligence territoriale entre cette entreprise et ses parties prenantes. Dans un contexte particulier d’une pollution industrielle chimique, les acteurs territoriaux prennent conscience de la nécessité de coopérer ensemble pour un développement durable de leur région. Dans une première étape, nous identifions les parties prenantes du GCT Gabès concernées par le processus de communication environnementale pour repérer, dans une seconde étape, s’il y a (comment et pourquoi) une dynamique d’intelligence territoriale entre eux. Deux étapes méthodologiques jalonnent l’ensemble : une analyse de contenu thématique qui porte sur un échantillon de près d’une vingtaine d’acteurs dont six sont des associations écologiques ; un guide d’entretiens reprenant les trois principes éthiques d’une intelligence territoriale (participation, approche globale/équilibrée et partenariat). Les résultats obtenus montrent l’existence de quelques pratiques d’intelligence territoriale qui nécessitent toutefois une meilleure implication des acteurs publics, privés et associatifs selon une approche participative, notamment, fondée sur l’utilisation des technologies numériques.