Thèse soutenue

Techniques de production, d'exploration et d'analyse d'environnements archéologiques virtuels

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Auteur / Autrice : Jean-Baptiste Barreau
Direction : Bruno Arnaldi
Type : Thèse de doctorat
Discipline(s) : Informatique
Date : Soutenance le 10/07/2017
Etablissement(s) : Rennes, INSA
Ecole(s) doctorale(s) : École doctorale Mathématiques, télécommunications, informatique, signal, systèmes, électronique (Rennes)
Partenaire(s) de recherche : Laboratoire : Institut de recherche en informatique et systèmes aléatoires (Rennes) - Centre national de la recherche scientifique (France). Unité mixte de recherche (6566) - Institut de Recherche en Informatique et Systèmes Aléatoires / IRISA - 3D interaction with virtual environments using body and mind
Jury : Président / Présidente : Jean-Louis Pazat
Examinateurs / Examinatrices : Bruno Arnaldi, Jean-Louis Pazat, Nadine Rouillon-Couture, Pascal Guitton, Guillaume Moreau, François Giligny, Réginald Auger, Valérie Gouranton
Rapporteurs / Rapporteuses : Nadine Rouillon-Couture

Résumé

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Si les possibilités de numérisation 3D de la présente réalité d'un site archéologique par le biais des dernières techniques d'acquisition 3D (photogrammétrie/scan laser) aident à la compréhension de son fonctionnement, elles peuvent aussi permettre de véritables hypothèses de reconstitutions de celui-ci tel qu'il a pu l'être à une époque donnée. Les besoins de la communauté archéologique concernant ces restitutions de structures ou d'environnements sont en effet considérables car, au-delà d'un intérêt évident en termes de valorisation du patrimoine, celles-ci permettent de véritablement mieux appréhender leurs fonctionnements et les sociétés qui les ont occupés. C'est partant de ce contexte que le premier objectif de cette thèse a été d'opérer, traiter et analyser différents niveaux de production d'environnements archéologiques 3D pour la recherche archéologique. Le second objectif a concerné la conception et la mise en place de méthodes d'interactions et de simulations immersives pour que les archéologues puissent démontrer certaines hypothèses, notamment en travaillant sur la perception d'indices visuels pertinents.