Étude par RMN des interactions entre la nucléoprotéine et la phosphoprotéine de virus appartenant à l’ordre de Mononégavirales
Auteur / Autrice : | Nelson Pereira |
Direction : | Christina Sizun |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Biochimie et biologie structurale |
Date : | Soutenance le 21/11/2016 |
Etablissement(s) : | Université Paris-Saclay (ComUE) |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Innovation thérapeutique : du fondamental à l'appliqué (Châtenay-Malabry, Hauts-de-Seine ; 2015-....) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Institut de chimie des substances naturelles (Gif-sur-Yvette, Essonne ; 1959-....) |
établissement opérateur d'inscription : Université Paris-Sud (1970-2019) | |
Jury : | Président / Présidente : Philippe Minard |
Examinateurs / Examinatrices : Christina Sizun, Philippe Minard, Malene Jensen, Nicolas Wolff, Cameron Mackereth, Yves Gaudin | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Malene Jensen, Nicolas Wolff |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
L'interaction entre la nucléoprotéine et la phosphoprotéine est cruciale pour les virus de l'ordre des Mononégavirales. Elle permet à la fois une reconnaissance du matériel génétique viral par le complexe ARN polymérase ARN dépendant du virus et la mise à disposition d'une réserve de nucléoprotéine sous forme monomère pour encapsider spécifiquement les brins d'ARN génomique viral néoformés.Dans le cadre de mon projet doctoral, j'ai pu approfondir les connaissances actuelles concernant cette interaction pour le virus respiratoire syncytial et le virus de la peste-des-petits-ruminants, par l'obtention de données de structure, de dynamique et d'interactions par la technique de résonance magnétique nucléaire.Mon projet, basé sur l'utilisation de la RMN, en tant que technique structurale, s'inscrit dans une collaboration avec l'INRA de Jouy-en-Josas et l'Institut Pasteur de Paris. Ainsi tout au long de ma thèse mes résultats ont pu être mis en rapport avec ceux obtenus par des techniques de biologie fonctionnelle telles que la génétique inverse ou l'utilisation de virus recombinants, mais aussi d'autres techniques de biologie structurale telles que la cristallographie.