Auteur / Autrice : | Khurram Shahzad |
Direction : | Sandra Charreire Petit, Florent Pestre |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Sciences de gestion |
Date : | Soutenance le 30/06/2015 |
Etablissement(s) : | Paris 11 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale Sciences de l'Homme et de la société (Sceaux, Hauts-de-Seine ; 2015-2020) |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Réseaux, innovation, territoires et mondialisation (Sceaux, Haut-de-Seine) |
Jury : | Examinateurs / Examinatrices : Sandra Charreire Petit, Florent Pestre, Samuel Mercier, Marielle Audrey Payaud, Aurélien Acquier, Jean-Philippe Denis, Isabelle Huault |
Rapporteurs / Rapporteuses : Samuel Mercier, Marielle Audrey Payaud |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Un courant dominant dans la théorie institutionnelle suggère que lorsqu’un changement institutionnel apparaît, la logique institutionnelle dominante se transforme. Les implications et les conséquences de ces changements sur l’ensemble des relations entretenues entre les acteurs ne sont toutefois pas claires. Cette thèse vise ainsi à comprendre la dynamique des relations entre les entreprises et leurs parties prenantes dans un champ qui vit un processus de changement institutionnel particulièrement fort. Afin de saisir et de caractériser l’évolution de ces relations, dans le contexte spécifique d’un pays émergent, le cadre de la saillance des parties prenantes développé par Mitchell et al. (1997) a été utilisé comme fondement théorique. Cette recherche propose de revisiter et de renforcer ce cadre théorique et d’illustrer de manière empirique le processus à l’œuvre. En utilisant des données recueillies à partir d’entretiens semi-structurés et de documents d'archives, cette thèse suggère une forte relation entre la logique institutionnelle dominante et la saillance des parties prenantes. Enfin, cette recherche propose plusieurs implications, tant pour les gestionnaires que pour les chercheurs, en matière de direction et d’orientation stratégiques des entreprises.