Analyse des mécanismes moléculaires de photoprotection dans les plantes supérieures et les algues vertes
Auteur / Autrice : | Giulia Bonente |
Direction : | Roberto Bassi |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Microbiologie. Biologie végétale et biotechnologieMicrobiologie. Biologie végétale et biotechnologie |
Date : | Soutenance en 2008 |
Etablissement(s) : | Aix-Marseille 2 en cotutelle avec Università degli studi (Vérone, Italie) |
Ecole(s) doctorale(s) : | Ecole Doctorale Sciences de la Vie et de la Santé (Marseille) |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
Les organismes photosynthétiques verts, plantes et algues, possèdent des mécanismes sophistiqués dévoués à la défense de ses appareils photosynthétiques des dommages oxydatifs. Dans ce travail de thèse je me suis occupée de l’étude de l'important mécanisme de photoprotection par des techniques physiologiques, biochimiques et génétiques "Non-Photochemical quenching" (NPQ), utilisé des organismes verts pour contrôler la concentration des chlorophylles excitées à l'état de singulet et en limiter l'excès, par un mécanisme à "feedback" de dissipation de l'énergie sous forme de chaleur. Les organismes utilisés dans ce étude ont étés A. Thaliana, modèle pour l’étude des plantes supérieures, et C. Reinhardtii, modèle pour l’étude des microalgues verts. Il s'est mis en évidence comme, malgré les deux les organismes possèdent et utilisent ce mécanisme de photoprotection, il y ait des considérables différences soit à niveau quantitatif dans la capacité de dissiper thermiquement l'excès d'énergie soit à niveau qualitatif dans les modalités de l’amorcement et de la régulation de la dissipation.