Capteurs de mouvements dédies à l’imagerie adaptative en IRM : développement technique et méthodologique
Auteur / Autrice : | Cédric Pasquier |
Direction : | Jacques Felblinger |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Bioingénierie |
Date : | Soutenance le 13/11/2007 |
Etablissement(s) : | Nancy 1 |
Ecole(s) doctorale(s) : | École doctorale BioSE - Biologie, Santé, Environnement |
Partenaire(s) de recherche : | Laboratoire : Imagerie adaptative diagnostique et interventionnelle (Nancy) |
Jury : | Président / Présidente : Jean-Marie Escanyé |
Examinateurs / Examinatrices : Jacques Felblinger, Emmanuel Perrin, Jean Rousseau, Michel Kraemer | |
Rapporteurs / Rapporteuses : Emmanuel Perrin, Jean Rousseau |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Résumé
L’Imagerie par Résonance Magnétique (IRM) est de nos jours un puissant outil de diagnostic grâce à sa capacité à produire des images aussi bien morphologiques que fonctionnelles. Bien que la résolution temporelle se soit améliorée avec les techniques d’imagerie rapide et parallèle, les mouvements physiologiques du type cardio-respiratoire restent gênants et dégradent la qualité des images. L’apnée et la synchronisation sont les techniques les plus couramment utilisées. Celles-ci ont des limites et restent difficiles pour certains patients. Pour mettre en oeuvre l’imagerie adaptive qui consiste à intégrer les mouvements des patients dans les processus d’acquisition et de reconstruction, nous devons disposer de capteurs de mouvements compatibles IRM donnant la meilleure représentation du mouvement des organes. Différents types de capteurs et méthodes de validations ont été développés pour intégrer ces informations externes aux algorithmes de reconstruction. Chaque capteur conçu devait être non-invasif et compatible à l’environnement IRM (champ magnétique, gradients de champ magnétique, et ondes de radiofréquences). La conception des capteurs impliquait la mise en oeuvre d’outils d’acquisition, et des méthodes de tests et de validations. Différent concepts de capteurs ont été explorés et testés. La validation finale étant faite par l’intégration des signaux à l’imagerie adaptative qui conduit à un apport au niveau de la qualité de l’image et par conséquent une amélioration du diagnostic.