Thèse de doctorat en Sciences économiques
Sous la direction de Claude Lacour.
Soutenue en 2004
à Bordeaux 4 .
Le président du jury était Claude Lacour.
Le jury était composé de Claude Lacour, Jean-Jacques Gouguet, Dominique Mignot, Marc Penouil, Bernard Planque, Bernard Thion.
Les rapporteurs étaient Jean-Jacques Gouguet, Dominique Mignot.
Faute de repères analytiques fondamentaux, la qualité, maître mot autour duquel s'est longtemps organisée la problématique de l'aménagement du cadre de vie urbain, s'apparente aujourd'hui à une boite noire. Afin de saisir les raisons et les moyens d'agir efficacement sur la réalité socio-économique qu'elle représente, cette thèse en mène l'exploration épistémologique, méthodologique et théorique. C'est ainsi qu'elle érige la qualité au rang de convention économique qui coordonne les représentations sur les comportements. Sur cette base conceptuelle, s'affirme l'idée que la qualité, projetée sur l'espace urbain, gouverne les actions publiques de renouvellement qui à priori dynamisent les territoires jugés obsolètes et favorisent l'émergence d'espaces plus conformes aux exigences sociales. La "méthode des ventes répétées" de biens immobiliers (échoppes) permet une mesure effective de l'amélioration de la qualité de la ville induite par le projet urbain de Bordeaux.
Quality in the city : a conventional model evaluating the urban policy : The case of Bordeaux's plan
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