L'Allégorie dans l'œuvre de Margaret Atwood et d'Angela Carter
Auteur / Autrice : | Françoise Couturier |
Direction : | Jacqueline Bardolph |
Type : | Thèse de doctorat |
Discipline(s) : | Études anglaises |
Date : | Soutenance en 1997 |
Etablissement(s) : | Nice |
Mots clés
Mots clés contrôlés
Mots clés libres
Résumé
Ce travail de recherche a pour but d'étudier l'allégorie dans l'œuvre de deux écrivains anglo-saxons, celle de la canadienne Margaret Atwood et celle de l'anglaise Angela Carter (décédée en 1992). Je définis le terme d'allégorie de la façon suivante: il s'agit d'un équilibre de deux forces, du didactique et de la fantaisie (terme qui regroupe tous les discours de l'imaginaire, comme le fantastique, le merveilleux, la science-fiction, l'utopie/dystopie, le gothique, etc. ). La première partie de la thèse analyse l'allégorie comme discours ambivalent, souvent rejeté par la critique mais pourtant bien présent dans une grande partie de la littérature. Dans cette partie est également soulevée la question du rapport entre allégorie et féminisme. La seconde partie analyse l'oeuvre de Margaret Atwood en relation à l'allégorie, en particulier à travers deux de ses romans, surfacing et the handmaid's tale. Son œuvre poétique est également prise en considération. La troisième et dernière partie se penche sur l'œuvre d’Angela Carter, en particulier à travers les nouvelles et cinq romans qui illustrent bien l'évolution de la pensée de carter autour de la notion d'allégorie